Re: Qu'avez-vous lus récemment ?

[Gizmo]

pour bakuman t pas obliger de connaitre death note, c juste les même créateurs après l'histoire n'a pas de lien. cependant je te le conseil vivement death note c vraiment bien.
pour one piece j'ai essayer mais j'ai pas accrocher....pourtant j'aime bien le monde des pirates en général et quand je tombe sur l'anime je regarde avec plaisir mais la je c pas j' aime mais pas au point de vouloir suivre. après je connait aussi pas mal de personne qui aime bien.
one piece fait partie du "trio" des année 2000. c sortie un peut en même temps que naruto et bleach et c 3 la ont truster la tête des classement pendent plusieurs année d'ou sa popularité.
perso j'ai tenté les 3 et y'a que naruto que je suis toujours.
mais bon ne jamais dire jamais, j'ai mis du temps par exemple a me mètre à naruto donc qui c peut être que je me ferai les one piece un jour ou l'autre.

[deadpool_az]

Non mais même sans lien avec Death Note, je préfère commencer par la série la plus connu des auteurs.

A part ça :


Snooze t.1

1ere partie sur les deux que compose cette histoire franco-belge écrite par un ami forumer (Night pour ne pas le citer), où suite au massacre de sa famille un jeune tombe dans le coma pour se réveiller une vingtaine d’années après… Et bien j’avoue avoir vraiment bien accroché à ce personnage paranoïaque n’ayant que partiellement retrouvé la mémoire et qui recompose peu à peu son passé, et à cette histoire pleine de mystères et de fausses pistes qui finalement pose plus de questions qu’elle n’en répond. L’ambiance nuitée, cotonneuse est aussi très réussie (avec ces morceaux de radios qui te mettent rapidement dans l’ambiance). Et puis le dessinateur, malgré son style réaliste arrive à ne pas être trop statique et certains angles de vues sont franchement intéressants (quand la « caméra » se rapproche lors de l’étreinte du héros avec sa mère adoptive). Bref j’ai vraiment été emballé, et j’attends vivement le second tome.


Vic Boone #1-3

Bon, un récit que j’ai acheté avant tout parce qu’il est illustré par un camarade forumer (et la couverture du #1 est dessinée par David Lloyd – V pour Venderra – quand même !). Vic Boone, détective en marge du système dans un monde futuriste, va se retrouver confronter à une affaire de meurtres peu banales impliquant des androïdes… Le scénario est très classique et sens un peu le déjà-vu dans le genre polar noir, mais l’univers apporte un réel plus et certains morceaux d’humour sont assez sympathiques, dommage juste que ça parte un peu trop en vrille sur la fin. Sinon l’histoire vaut essentiellement pour Geoffo sur les dessins, un style très personnel que j’apprécie depuis ses débuts : un peu esquissé, un peu cartoony, un trait appuyé et un peu gras qui retranscrit jusque ce qu’il faut pour nous permettre de nous concentrer sur l’essentiel. Je passe sur le storytelling vraiment intelligent, et en plus les couleurs bien dosées apportent un vrai plus à l’histoire. Dommage jusque que certains cases soient trop souvent volontairement « penchées ». Mais bon globalement vraiment du bon comic-book.


Captain Swing et les Pirates électriques de Cindery Island

http://www.comicszone.fr/divers/avatar/captain-swing


Congo Bill

http://www.comicszone.fr/vertigo/congo-bill

[deadpool_az]

Tout Buck Danny vol.6

4 tomes dans ce sixième volume de l'intégrale Buck Danny, où notre trio est envoyé protéger des espions une base faisant des essais nucléaire dans l'Arctique lors des deux premiers tomes, puis pour mettre un terme à un important traffic de drogues dans les îles du Pacifique pour les deux tomes suivants. A ce niveau la série rentre vraiment dans son rythme de croisière en terme d'excellence, entre les techno-thrillers complexes, prenants et très réalistes de Jean-Michel Charlier, qui arrive également à approfondir les relations entre les personnages et à doser assez souvent le récit avec des points d'humour, et les dessins très réalistes, minutieux et pointus de Victor Hubinon (quand on sait que pendant un moment il dessinait les séries Barbe Rouge et Buck Danny en même temps...). Bref, de l'excellent récit d'aventure classique franco-belge.


La Ligue des Gentlemen Extraordinaires : Century t.2 : 1969

http://www.comicszone.fr/divers/top-shelf/the-league-of-extraordinary-gentlemen-vol3-century/t2--century--1969


Whiteout

Une base gouvernementale en Antarctique, une flic va devoir enquêter sur un meurtre… rapidement suivi par plusieurs autres. Greg Rucka semble très à l’aise pour dépeindre ce personnage de femme flic, forte mais avec ses défauts, à mille lieux des héroïnes standardisées du comic-book mainstream. En plus de cela, il nous propose un polar plutôt nerveux, qui n’évite pas les longueurs mais dont le cadre (l’Antarctique) donne lieu à d’excellents moments, souvent plongés hors du temps. Il semble s’être bien documenté, et cela rend l’ensemble encore plus réaliste. Et puis le dessin vaut franchement le coup d’œil, un peu sec à la Miller et un bon storytelling et quelques compositions plutôt savoureuses, rendant l’utilisation du noir et du blanc très pertinent. Bref plutôt très sympathique.


Walking Dead t.16

http://www.comicszone.fr/image/walking-dead/t16-un-vaste-monde

Mis à part ça, je vais arrêter une série kiosque : Thor :

Tout d’abord à cause de The Mighty Thor qui me plait de moins en moins : la série Thor de Fraction met un temps fou à avancer (vive la décompression !) Ensuite Défenders est tout simplement mauvais en voulant se la jouer génial, Avengers Academy est beaucoup moins bon que feu Avengers : The Initiative, et Journey into Mistery reste sympathique mais je n’accroche pas complètement.

Voilà, sinon la série Deadpool est aussi sur la sellette, c’est vraiment très anecdotique alors j’attends un autre tome pour me faire un avis. Et je vais sans doute reprendre Marvel Knights, puisque l’affreuse série Ghost Rider va s’arrêter (on se demande pourquoi) et que la série Winter Soldier commence.

[deadpool_az]

X-Men Classic 3

Bonne idée que la réédition de cette saga culte des New Mutants, qui avait été à l’époque (1984) archi-censuré par la censure française, le pire étant l’épisode #20… dont seuls 3 pages avait été publiées ! Et franchement, ça n’a pas vieilli. Si le scénario de Claremont n’est pas forcément de la grande littérature (même si les personnages sont tous intéressants et que l’ambiance mystique et sombre qui se dégage de l’histoire est bien rendue), ce sont surtout les dessins de Bill Sienkiewicz, alors débutant, qui nous en mettent plein la vue. Le style dénote complément de ce qui se faisait à l’époque (il prend quand même la relève de Sal Buscema et de Bob McLeod sur la série !) et a amené le comic-book mainstream vers de nouveaux horizons. Anguleux, parfois esquissé, nerveux, brouillon, un style expressif et instinctif qui vaut vraiment la peine d’être découvert. Du grand art, qui annonce les futurs chefs d’œuvres Stray Toasters ou encore Elektra : Assassins. Dans deux mois Panini va nous proposer la mini-série Longshot d’Ann Nocenti et Arthur Adams. Vivement.


DeadpoolMAX t.1

http://www.comicszone.fr/marvel/deadpool/deadpool-max/t1-un-penchant-pour-la-violence


X-Men Universe Hors-Série t.3

Je continue ma reprise progressive – et ma sélection – des offres kiosques Marvel du moment. Retour ici sur l’excellente série X-Factor de Peter David, une des rares séries que j’ai regrettées à l’époque où j’ai lâché tout le kiosque. Et, bonne nouvelle, la série est publiée à part, en format hors-série ! Et c’est toujours aussi bon. La galerie de personnage est intéressante (Felina, Cyrène, M, Guido, Rictor, Shatterstar, Longshot, Madrox, mince quoi), et David creuse chacun de ceux-ci en apportant sa touche personnelle. Leurs interactions sont savoureuses, c’est plein d’humour et les histoires se laissent lire avec plaisir (dont ici une saga avec Rhane et sa grossesse qui ameute tous les loups à pouvoirs de l’univers Marvel : pas forcément le genre d’histoire qui me tenterait de prime abord, mais c’est bien raconté et ça passe tout seul). Bon sur les dessins, un peu de tout, ça reste toujours correct mais rien de vraiment bon non plus.


Hellblazer : Dangereuses manies

Pour sa reprise il y a une vingtaine d’années de la série Hellblazer, Garth Ennis frappe fort : pas de grosses intrigues paranormalo-mystico-fantastique, mais une scénario très terre à terre : John Constantine apprend qu’il a un cancer des poumons. Et qu’il va y rester. Entre l’acceptation, les derniers adieux, ses stratagèmes pour s’en sortir, un récit fort et prenant, avec en plus ce carcan social un peu miteux dans lequel baigne le personnage (en pleine Angleterre thatcherienne) et ces relents mystiques, bref Garth Ennis à tout compris à ce personnage singulier et solitaire et à l’univers qui l’entoure. En plus de ça, les dessins sont vraiment très corrects. Vraiment un grand bouquin, en espérant que les éditions Urban nous publient enfin la suite (ou les sagas d’autres auteurs : Ellis, Milligan, Morrison, Azzarello, y a du beau choix).


Brit t.2

http://www.comicszone.fr/image/brit/t2-deserteur


Ignition City

Plongée dans un monde uchronique où l’aide de Martiens pendant la seconde guerre mondiale a précipité la fin de celle-ci et permis le voyage spatial. Pendant un temps seulement, puisque à la suite de dérives, toutes les stations spatiales terrestres ont été fermées… sauf une, Ignition City, glauque, mal famée et autogérée suite à un vide juridique. Une fille s’y rend, déterminée à savoir qui y a assassiné son père… Si le monde dans lequel évolue les protagonistes est vraiment bien fichu (Warren Ellis ne nous lâchant que des bribes d’information par-ci par-là), tout comme le caractère fort de cette jeune femme, le reste n’est que peu attrayant : les autres personnages sont justes esquissés, et le côté enquête assez mou pour finir sur un pétard mouillé. Et le dessinateur, excellent sur les décors, a vraiment du mal pour les personnages (que ce soit les visages ou la façon de se mouvoir). Bref, sympathique sans plus.


The Boys t.15

Plongée dans le passé où notre Hughie apprend enfin d’où viennent les super-humains, comment le programme a été lancé pendant la seconde guerre mondiale et d’où viennent les « Boys » censés encadrer cette puissante force de frappe. Forcément, du récit de guerre, alors Garth Ennis est très inspiré. On en apprend beaucoup dans ce tome bien ficelé, et John McCrea semble plutôt en forme (preuve en est tout cet équipement militaire (tanks et autres) vraiment bien rendu). On a enfin toutes les données en main, la partie devrait s’accélérer… Vivement la suite ! (plus que 4 tomes et c’est la fin)


Tout Buck Danny vol.7

4 tomes pour 2 histoires, encore une fois : un essai secret d’avion à décollage verticale qui tourne mal (la faute à des espions, forcément), et une mission secrète dans le but de délivrer un scientifique dans les chaînes de l’Himalaya. Dans les deux cas deux aventures très inspirées, prenantes et toujours surprenantes (on ne s’attends jamais aux événements qui s’y passent), et puis en plus ce dessin vraiment parfait (réalisme, encrage, storytelling) d’Hubinon… Du tout bon.

[deadpool_az]

Soldat Inconnu t.1

http://www.comicszone.fr/vertigo/soldat-inconnu/t1-possede


SuperPatriote t.1

http://www.comicszone.fr/image/super-patriote/t1-le-dernier-rempart


FreakAngels t.6
Excellente conclusion de la part de Warren Ellis, entre des retrouvailles donnant lieux à de savoureux dialogues pendant la première partie et une conclusion vraiment de toute beauté. Bref, malgré le dessin pas toujours au top (mais le style est suffisamment original pour qu’on y accroche), vraiment une excellente maxi-série, un de mes travaux préférés de Warren Ellis et qui dénote quand même pas mal avec ses thèmes de prédilection.


Usagi Yojimbo t.24

http://www.comicszone.fr/dark-horse/usagiyojimbo/t24-return-of-the-black-soul


Gravel t.1

http://www.comicszone.fr/divers/avatar/gravel/t1-sales-menteurs


Omega l’Inconnu

Près de 5 ans après Panini se décide enfin à publier cette œuvre dont on a tant entendue parler, dans une édition de luxe qui plus est ! On suit ici plusieurs histoires qui vont se recouper : un adolescent surdoué voit ses parents se faire tuer, apprend par la même occasion que ce sont des robots et découvre enfin le monde extérieur. Un super-héros perdu essaye tant bien que mal de le sauver d’autres robots semblant vouloir asservir le monde par le biais d’une chaîne de fastfood. Enfin, un autre super-héros dopé aux médias tente de combattre sur les deux plans pour gagner encore plus de célébrité. On est vraiment surpris à voir l’aisance à laquelle Jonathan Lethem et Karl Rusnak nous font plonger du quotidien terre-à-terre au récit moderne de super-héros, dans les deux cas en proposant une approche nouvelle de ces genres. C’est touchant, bien barré par moment, drôle au troisième degré, et surtout très profond avec pas mal de niveaux de lecture. En plus pour ne rien changer Farel Dalrymple est le dessinateur qu’il faut pour un album de cette trempe, au style indé–mais-pas-trop et en même temps avec une touche vintage pas désagréable. Bref, de l’excellent album, à recommander sans hésiter !

[deadpool_az]

Martha Washington t.3

http://www.comicszone.fr/dark-horse/martha-washington/t3-la-paix-retrouvee


The Goon t.9

On arrive à la fin, tout les ennemis du Goon refont surface et notre ami ne va pas s’en sortir sans quelques pertes… Après un début où j’ai eu un peu de mal à me remettre dedans (le rythme de creation est trop lent, il faut que tu fasses quelque chose Eric Powelll !), l’ensemble est toujours aussi excellentissime, autant pour le scénario avec ce personnage du Goon constamment sur la brèche, cet univers macabre empruntant aux grands classiques de l’horreur, cet humour à froid et puis ce dessin cartoony et sombre à la fois, merveilleusement mis en couleur. Du grand, grand art.


Invincible t.7

Après un passage en vo, j’ai enfin pu reprendre le train de la vf pour l’excellente série super-héroïque Invincible. Et c’est toujours aussi bon, certes l’approche ne change pas par rapport au tomes précédents mais là encore on a droit à des révélations en cascade, plein d’action, de suspens, et puis surtout ce côté sense of wonder que retranscrit si bien Kirkman et le prisme de l’adolescence vu au travers de l’acquisition des pouvoirs et des responsabilités qui va avec… Pour les dessins, j’adore toujours autant le trait clair et dynamique d’Ottley, et là encore c’est du tout bon. Vivement la suite.


Deadpool n°3  Dernier

Voilà, encore un magazine en moins. Autant j’ai bien aimé le 1er n° avec des dessinateurs intéressants, autant seules les featurettes Deadpool Team-up sauvaient le n°2, autant là ça n’est plus possible… Bien sûr, ça se lit plutôt bien par rapport à d’autres séries, mais ni le dessin ni le scénario ne valent franchement qu’on s’attarde dessus… Bye, Deadpool !


Avengers Extra n°4

Achat obligé avec cette saga contant les débuts de Bucky pendant la seconde guerre mondiale, avec rien de moins qu’Ed Brubaker et Chris Samnee comme équipe créative. Un scénario qui nous fait plonger sans mal dans cette période de l’histoire et approfondit nettement le personnage de Bucky et surtout ces motivations pour rentrer dans l’armée, tout comme son besoin de reconnaissance face à l’équipe des Envahisseurs. Plein d’action, de rebondissements, d’émotion… le tout assuré pour le dessin par l’excellent Chris Samnee (Capote in Kansas, Zone 10) qui change complétement son style : tout en restant quand même un pas mal réaliste, il arrive à proposer un style « super-héros » avec un soupçon old school vraiment bien fichu. Rien à redire sur le storytelling, l’encrage… Vraiment de l’excellent bouquin.


Death Note t.1 et 2

Une très bonne surprise que ce manga où un adolescent trouve un livre, laissé par un dieu de la mort, où le nom de la personne qu’on y inscrit mourra dans les minutes qui suivent. J’ai eu du mal à accrocher au début, trouvant l’ensemble pas très fin et même un peu stupide, mais au fur et à mesure le scénariste fait vraiment preuve de beaucoup d’imagination et le scénario – plutôt policier - se révèle très complexe et surtout passionnant à suivre. Avec en plus tout le questionnement sur la justice qui va avec. Pour les dessins, Takeshi Obata n’en fait heureusement pas trop et c’est sobre comme il faut. Hâte de lire la suite.

[deadpool_az]

How to tell if your cat is plotting to kill you

Succession de sketchs et de courts gags séparés en deux parties : l’une sur les chats en général, et le complot qu’ils fomentent pour tuer les hommes (plutôt sympa quand on possède un matou), et une seconde partie sur une entreprise employant des chats cadres (avec des passages franchement hilarants). Plutôt inégal mais en tout cas bien sympathique.


Absolument dé-bor-dée

Roman d’une administratrice territoriale (catégorie A++ donc) qui va se trouver propulsée dans un obscur service d’une collectivité, sans franchement avoir de quoi travailler. Mais comme l’immobilisme semble le maître mot de l’endroit, elle n’a finalement pas à s'en faire. Un roman autobiographique plutôt sympathique, aux bons mots et surtout qui assène une vérité qui reste encore prégnante dans la fonction publique, où subsistent encore des fonctionnaires qui ont tout du cliché... Après je suis plutôt nuancé sur la démarche de dénonciation de l’auteur, qui à un niveau tel que celui-ci (administratrice territoriale, merde), préfère ne rien dire et écrire par derrière au lieu de mobiliser les troupes et de faire avancer les choses...


Titeuf t.10 (Nadia se marie), 11 (Mes meilleurs copains) et 12 (Le sens de la vie)

Trouvé à 5€ les trois, je n’ai pas trop hésité... Bon du Titeuf pur jus, au moins Zep ne dénature pas son personnage avec le temps, notre pré-ado est toujours avec ses problèmes de pré-ado, le tout raconté avec humour et intelligence, et abordant beaucoup de sujets... A noter un tome qui raconte une histoire complète, un exercice de style dont cette fois Zep ne se sort pas forcément avec brio, puisque l’ensemble de l’histoire est attendue et il ne se passe finalement pas grand-chose tout au long de l’album...


La Ligue des Gentlemen Extraordinaires Century t.3 : 2009

http://www.comicszone.fr/divers/top-shelf/the-league-of-extraordinary-gentlemen-vol3-century/t3--century--2009


The Boys 16

Le P’tit Hughie revient dans l’équipe des Boys pour une sombre histoire de prostitution et de meurtre impliquant des super-héros... Là encore, des têtes vont tomber et les relations entre les Boys et les Sept se font de plus en plus tendues... Une série toujours aussi bonne, prenante, à l’univers dense, au scénario complexe et noir, aux dialogues ciselés... Ca progresse, ça progresse... Vivement que ça explose ! Juste dommage qu'au rythme de sortie des épisodes Darick Robertson n'ait pas toujours le temps d'assurer la partie graphique (bon quand on a des fill-in artists de la trempe de John McCrea ça va, mais sinon...)


Fuzzy le Lapin et ses copains

http://www.comicszone.fr/fantagraphics/robert-crumb/fuzzy-le-lapin-et-ses-copains


Barge-Rouge Intégrale t.1

L’histoire du fils adoptif de Barbe-Rouge, que celui-ci a récupéré à la suite d’un abordage après avoir tué ses parents, et dont il veut faire le plus grand des pirates. Forcément, le bambin devenu adulte n’a pas exactement les mêmes idées que son père malgré son intérêt pour la piraterie. De l’excellente série d’aventure, au scénario très complexe et aux rebondissements nombreux signé Charlier, servis par des dessins réalistes vraiment somptueux de Victor Hubinon. Du très grand classique franco-belge, très difficile à lâcher en cours de route et qui ne vieillit pas malgré ses 50 années.


The Unwritten t.1

Scénario complexe mais limpide mêlant fiction et réalité, où le fils d'un écrivain à succès disparu devient célèbre suite à aux romans fantastico-horrifiques de son papa, avant de se rendre compte que ceux-ci étaient en grande partie autobiographiques, et qu’il n’est peut-être pas vraiment le fils de l’écrivain... Le scénario brasse une quantité de thème et nous propose une histoire poétique et fantastique très intrigante, ou le besoin d’avoir la suite se fait rudement sentir... Malheureusement Panini a lâché l’affaire après le deuxième tome, et Urban n’a pas repris la suite... Du coup, vo !


Fatale t.1

http://www.comicszone.fr/image/fatale/t1-la-mort-aux-trousses


Magazines Panini

Bon encore trois arrêts de magazines Panini… Hulk, X-Men Universe et Spider-Man... Seul Thunderbolts retient mon attention dans le magazine Hulk, tout comme seul Astonishing X-Men vaut le coup dans le magazine X-Men Universe… C’est dommage, ce sont des séries de qualité, mais bon... Et pour le magazine Spider-Man, et bien... C’est fun, plutôt bien écrit, ça passe bien... Mais il manque ce petit truc qui en fait une excellente série. Alors certes les magazines sont pas chers, je pourrais continuer... Mais tant de choses à lire par mois, je ne m’en sort pas, je prends du retard et je n’arrive pas à suivre. Donc je continue sur Wolverine, qui est vraiment excellent (malgré en ce moment les épisodes liés à l'event Avengers vs X-Men dont je me fout royalement), je continue également Marvel Universe qui propose toujours un contenu spatial de grande qualité, ainsi que les séries Venom, X-Factor et Captain America & Bucky qui paraissent épisodiquement dans des hors-série.

[deadpool_az]

Death Note t.3 à 12

Ca y est, j'ai enfin fini les Death Note ! Globalement une excellente lecture, qui souffre parfois de quelques petits ralentissements (quand on réexplique tout ou quand les personnages principaux comprennent que l’autre il a compris qu’il avait compris que peut-être il aurait fait ça si jamais il avait pensé à...) mais avec globalement une très bonne gestion du rythme, et des dialogues qui nous scotchent. Du thriller très haut de gamme, à la complexité assez effarante surtout quand on rentre dedans au début, et puis à force on s’y fait à ces jeux des chats et des souris (parce qu’il y en a du protagoniste)... Et puis toujours avec ce sous-texte sur la notion de responsabilités et de pouvoirs. A part ça le dessin est franchement bon, l’artiste arrive à bien rythmer ses compositions. Je regrette un peu la fin, tellement attendue et finalement décevante. Comme la série a été relancée à différents moment de l’histoire, et repartait à chaque fois sur un pied nouveau avec des choix plutôt couillus et des nouvelles intrigues intéressantes, on attendait beaucoup de cette conclusion (« qui va gagner ? ») et finalement la fin est pas si originale que ça et fait un peu pétard mouillé... Mais bon globalement j’ai bien pris mon pied sur cette série, surtout les premiers tomes avant qu’on s’habitude à la narration si particulière du scénariste.


Walking Dead t.17

http://www.comicszone.fr/image/walking-dead/t17-terrifiant

[Gizmo]

moi dans death note j'ai surtout était dégoûté quand un certain personnage meurt (v pas dire qui c en cas ou que quelqu’un veuille le lire)

[deadpool_az]

Oui on est dégoûté mais en même temps c'est osé donc j'aime bien ^^

[micazeve]

Tout comme dans le dernier tome de Walking Dead

[deadpool_az]

Ou surtout dans le tome 8 ^^'

[deadpool_az]

Ronin

http://www.comicszone.fr/dc/ronin


Cyanide & Happiness

Webcomic réputé, Cyanide & Happiness sort ses meilleurs sketchs en bouquin. De l'humour très très (très) noir de très bonne facture (certain gags sont moyens mais d'autres franchement hilarants) servi par un graphisme minimaliste mais bien dosé. Faut aimer, hein. Moi j'adore :




Will Eisner : New York Trilogie

http://www.comicszone.fr/dc/will-eisner/new-york-trilogie


Grant Morrison présente Batman t.1

http://www.comicszone.fr/dc/batman/grant-morrison-batman/t1-lheritage-maudit

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Habibi

http://www.comicszone.fr/divers/pantheon-books/habibi


Tank Girl : Everybody loves Tank Girl

http://www.comicszone.fr/divers/autres/tank-girl/everybody-loves-tank-girl


Crossed t.4 - Psychopathe

http://www.comicszone.fr/divers/avatar/crossed/crossed--psychopathe


The Boys t.17

Un excellent tome qui revient, sur 6 épisodes, sur toute l'histoire de Billy Butcher, le boss des P'tits Gars, de l'enfance a ce qui a fait de lui l'homme qu'il est devenu. Et c'est vraiment très bien fichu, prenant, dense, dramatique, ça approfondit un personnage qui restait jusque là plutôt mystérieux. Le tout servi par Darick Robertson, toujours aussi bon et sombre. Du tout bon, vivement la suite !

[deadpool_az]

Grant Morrison présente Batman t.2

http://www.comicszone.fr/dc/904-t2-batman-rip


Wolverine / The Punisher

Nos deux compères, chacun de leur côté et sans le vouloir, vont se retrouver en plein milieu d’une île qui sert de refuge aux gangsters souhaitant échapper au Punisher. Le scénario est efficace mais franchement roublard pour du Milligan, mis à part quelques idées sympa sur la fin... Mais globalement le récit nous assène tous les lieux commun de la mini-série où deux héros (ou anti-héros) se retrouvent, sans aucune originalité. Et Lee Weeks côté dessins fournit un travail plutôt satisfaisant, bien sûr si on aime le old school. Mais globalement, très bof.


Usagi Yojimbo 25

http://www.comicszone.fr/dark-horse/usagiyojimbo/t25-fox-hunt


Deathblow & Wolverine

La rencontre d’un personnage Marvel et d’un personnage Wildstorm… Si le scenario ne brille pas par son originalité (et encore, on n’a pas le traditionnel “ils s’affrontent avant de faire front contre un ennemi commun") et est même franchement roublard, c’est au niveau de la partie graphique que l’ensemble va nous intéresser... En effet, Richard Bennett est très précis et pointu, et propose parfois des compositions de planches plutôt intéressantes. Il nous pond du sous-Geoff Darrow assez sympathique. Mais bon, l’ensemble reste quand même très (très) anecdotique.


Industriel

Deux histoires sans paroles, deux destins d’individus essayant tant bien que mal de survivre dans un monde industriel et déshumanisé, croulant sous la ferraille. Danijel Zezelj est en grande forme pour ce diptyque superbement mis en image et conté avec talent (même si j’ai largement préféré la première histoire à la seconde), doté de superbes fresques, toujours avec le trait noir, gras et charbonneux de Zezelj. Et puis le côté lutte des classes ou encore déshumanisation du travail est très bien rendu. Une très belle œuvre.


Nabuchodinosaure t.12 - Zen

Je l'avais acheté pour avoir une belle dédicace à l'intérieur, puisque Nabucho a été une de mes BD humoristiques franco-belge de chevet fétiche... Même après 12 tomes les gags restent plutôt bien pensés, toujours avec ces anachronismes savoureux et ces personnages récurrents (les flics) qu'on se plait à retrouver. En plus, pour une fois le titre de l'album n'est pas juste là parce qu'il faut bien un titre mais sert de fil directeur à l'album. Mais bon, l'ensemble vaut surtout pour les dessins de Widenlocher, précis, nerveux, dynamiques et aux expressions excellentes, dont l'ensemble rappelle presque le Franquin des grands jours. Si, si.


Tintin en Amérique

Tintin se rend en Amérique pour y faire cesser le grand banditisme. Ouais ouais, rien que ça. Si le début est constitué de gags sans consistance ni même sans soupçon de réalisme, l'histoire commence à exister après le 1er tiers, et même si ça reste simpliste certains passages et gags valent franchement le coup d'œil. Pour les dessins, j'ai lu la version redessinée, celle que tout le monde connait (donc datant de 1946 et pas de 1932), et c'est franchement magnifique. La narration, certaines prises de vues, le trait "ligne clair" parfaitement maîtrisée. Du grand art. Vivement que je (re)découvre la suite.


Next World t.1 et 2

Suite à des essais nucléaires, une race humanoïde va se développer sur une île, et va commencer à essayer de prendre le pouvoir discrètement. Et pendant ce temps-là, les tensions vont croissantes entre l'Améristar et l'Uran. Premier essai avec Osamu Tezuka (le père du manga à qui on doit Astroboy, Le Roi Léo ou encore Princesse Saphir), j'ai trouvé l'intrigue franchement dense pour l'époque (1949), faisant intervenir quantité de personnages, sur différents endroits, et bâtissant un scénario qui prend tout son sens au fur et à mesure. Ce genre de scénario, simple en apparence mais pourtant très profond, m'a pas mal fait penser à du Carl Barks, avec en plus des messages forts (sur le nucléaire, la Guerre Froide, l'évolution). Et pour les dessins, il y a à boire et à manger, mais c'est en général très bien fichu. Une excellente surprise.


Snooze t.2

Suite et fin de la mini-saga franco-belge Snooze où un jeune adulte sort du coma après 15 ans et va se révéler être le témoin (le suspect ?) parfait pour savoir qui a massacré sa famille. Autant j'avais vraiment aimé le premier tome, très intimiste et pudique à la fois, autant j'ai été un peu déçu sur celui-là. Les révélations et rebondissements en cascade sont bien gérés et très inventives mais vont par contre faire qu'on adhère un peu moins aux personnages, et donc à l'histoire. On passe sans cesse d'une révélation à une autre, et si le côté fantastique et thriller tortueux y gagne, le reste y perd pas mal. Dommage, même si l'ensemble reste quand même très correct, surtout avec un dessinateur réaliste sans être statique, qui propose des compositions bien réfléchies.


Stray Bullets t.2

http://www.comicszone.fr/divers/el-capitan/stray-bullets/stray-bullets-t2


Grandville, Mon Amour

Deuxième album de la série steampunk suivant un simili-Sherlock Holmes dans un monde anthropomorphisé où l’Angleterre est sous le joug de la France. Elle acquiert enfin son indépendance dans cet album, mais peu de temps avant la cérémonie d’investiture un meurtrier s’échappe de prison et une vague de meurtres semblant y être liée débute. On va donc suivre l’inspecteur LeBrock dans une enquête très intrigante mêlant politique, histoires passées et meurtres. L’ensemble est vraiment exécuté avec brio, c’est bien conté et passionnant, loin d’être manichéen et puis les personnages sont tous intéressants. En plus, le trait ligne clair et légèrement cartoony tout en étant très réaliste rend vraiment bien, surtout que la colorisation se fait moins flashy que sur le tome précédent. Bref, excellent, du tout bon.


Batman : Year One

Après lui avoir offert un final d’anthologie dans The Dark Knight Returns, Frank Miller décide en 1987 de raconter la première aventure de Batman, se concentrant sur Bruce Wayne mais également en grande partie sur le commissaire Gordon dont il fait coordonner les premiers faits de Batman avec son arrivée à Gotham City. Frank Miller délivre un scénario prenant et noir, dense, en disant long sur les deux personnages et sur les événements qui font d'eux ce qu’ils sont aujourd’hui. Je regrette juste le final un peu trop rapide. Par contre, l’ensemble est brillamment mis en image par un David Mazucchelli en grande forme, qui pour l’occasion propose un trait à mi-chemin entre le old school et le réalisme. Sa narration est pertinente à chaque case, et puis son trait appuyé et ses aplats d’encres rendent l’ensemble juste magnifique. Récit culte, on comprend pourquoi.

[deadpool_az]

GloomCookie

http://www.comicszone.fr/divers/autres/gloomcookie


L’Ancien Temps t.1 : Le roi n’embrasse pas

1er contact avec Joann Sfar, où dans un monde féérique un jeune sourcier veut conquérir une belle sorcière, qui le fuit, en quête d’autres aventures amoureuses. Le jeune naïf aura alors à cœur de la protéger dans son périple. Un joli conte où il est question d’amour, de croyances, d’honneur, le tout avec un charme candide bienvenu et dans un univers passionnant et dense... Et puis, j’ai beaucoup accroché au style un peu brouillon et tremblotant de Sfarr : on n’adhère pas forcément pendant un simple feuilletage, mais lors de la lecture on reste happé par cette façon de raconter les histoires en s’appropriant les planches. Vivement que l’ensemble verse dans l’aventure pure sur le deuxième tome.


Grant Morrison présente Batman t.3

http://www.comicszone.fr/dc/batman/grant-morrison-batman/t3-nouveaux-masques


Les Aventures de Tintin t.4 : Les Cigares du Pharaon

Hergé se met enfin à l’histoire complète, et également à l’enquête/aventure avec un récit plein de mystères, et même si certains liens/rebondissements semblent un peu tirés par les cheveux l’ensemble fonctionne plutôt bien. Ca reste très plaisant, et quelques scènes sont toujours aussi excellentes (notamment le passage de la réunion secrète avec tout ces personnages masqués). Et puis s’agissant du dessin, toujours aussi somptueux, rien à redire.


Fear Agent t.1

Les aventures hautes en couleur du dernier des Fear Agent, des agents d’intervention galactiques entraînées à nettoyer la vermine. Seulement, le dernier de ceux-ci est du genre bourru et alcoolique. Un bon petit cocktail space opera plutôt sympa, dynamique et très fun, et à l’univers et au personnage principal qui s’étoffe au fur et à mesure. Et puis Tony Moore est toujours aussi plaisant et convient parfaitement au ton de la série, avec son trait très expressif et énergique et son sens du storytelling. On regrette juste que les 4 épisodes se concluent de façon abrupte, mais je vais acheter la suite sans trop hésiter.


Whiteout : Fusion

Deuxième aventure de notre héroïne au caractère bien trempé Carrie Stetko, qui repart en Antarctique pour enquêter sur une base russe ayant explosée, et qui va finalement révéler un vol d’arme nucléaire qu’il faut à tout prix déjouer... Autant j’avais trouvé le premier tome un peu trop bavard, autant celui-ci est bien dosé comme il faut : juste ce qu’il faut d’enquête, et une bonne partie thriller / survival bien gérée, en particulier dans cet univers blanc très dangereux et loin de tout. Le personnage principal est très bien caractérisé et intéressant (forcément, c’est du Greg Rucka), et puis les dessins très réalistes et nerveux de Steve Lieber rendent vraiment bien. Une très bonne surprise.

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J'essaie de rattraper mes lectures en retard... Je suis enfin passé sous la barre des 80 bouquins à lire ! :p


Rhââ-GnaGna t.1

1er tome d'une des séries où Gotlib va complètement se lâcher dans Fluide Glacial, sans aucune retenue. On sentait déjà sur les derniers Rubrique-à-Brac que ça partait dans tous les sens, ça se confirme ici. Du gros délire non-sensesque, toujours avec le sens du phrasé indéniable de Gotlib, ses messages sous-jacents et sa douce poésie sans aucun tabous... Sans compter son dessin réalisti-comique, d'une minutie à tomber (et qui compense largement l'absence de décors), et ces personnages jouant avec le 4ème mur... Tout ça me donne très envie de me procurer l'intégralité des travaux de Gotlib...


Heure Zéro : Crise temporelle

Après l’événement Crisis on Infinite Earth (1985) sensé remettre un peu d’ordre dans l’univers DC en supprimant les terres multiples, il restait encore beaucoup de contradictions dans l’univers. Heure Zéro (1994) est là pour remettre un peu d’ordre dans le tas (sans y parvenir complètement, mais ça c’est une autre histoire). Le type même de crossover à aborder complètement blindé sous peine de ne pas y piger grand-chose. Bon j’avais quelques notions mais globalement connaître les différentes Terres, leurs personnages, les histoires des personnages et même tous les différents personnages (héros, vilains ou neutres, secondaires ou pas) des différentes Terres pouvant intervenir sur le temps, c’est un peu trop pour moi. Du coup j’arrivais quand même à suivre à peu près ce qu’il se passait, en grande partie dû au scénario très complexe mais assez aéré de Dan Jurgens et aux dessins joliment old school de Jerry Ordway. Plutôt bien fait dans le style, donc.


Deadpool MAX t.2

http://www.comicszone.fr/marvel/deadpool/deadpool-max/t2-longue-vie-a-lhydra-


The Boys t.18

Avant-dernier tome de la série, un excellent numéro qui place tous les pions sur l’échiquier et nous promet d’excellents rebondissements, dont certains que l’on n’attendait pas du tout. Une œuvre dense et profonde, pleine d’enjeux, dans un univers très intéressant mais également très violent, et Ennis ne fait pas dans la dentelle entre son humour parfois très limite et quelques scènes affreusement trash. Une fois encore Darick Robertson est remplacé sur les dessins, mais les fill-in artists sont pour la plupart très correct même s’ils singent son trait réaliste et sombre (et puis en prime un John McCrea sur la fin qui s’en donne à cœur joie). Un excellent album, vivement la suite et fin !


Gravel t.2

http://www.comicszone.fr/divers/avatar/gravel/t2-sept-tombes


Hellboy : Rencontres

http://www.comicszone.fr/dark-horse/hellboy/hs-rencontres


Star Trek : Spock - Réflexions

http://www.comicszone.fr/idw/star-trek/spock-reflexions


Coyote Bill t.1

Une succession de sketchs longs (5-6 pages) constituées des enquêtes farfelues et non-sensesques de Coyote Bill dans un monde anthropomorphisé, conçu par les auteurs de Nabuchodinosaure. Bon je l’ai eu à 1€, et pour le coup ça vaut l’investissement. Les enquêtes rappellent pas mal celles de Bougret et Charolles de la Rubrique-à-brac de Gotilb. Globalement c’est assez divertissant, malgré un peu trop de dialogues... Les pastiches sont sympas, et puis j’adore le trait nerveux et expressif de Widenlocher. Bon la série n’a pas marchée et s’est arrêtée après ce premier tome.


Courtney Crumrin t.5

http://www.comicszone.fr/oni-press/courtney-crumrin/t5-courtney-crumrin-et-lapprentie-sorciere


Jennifer Blood t.1

http://www.comicszone.fr/divers/dynamite-entertainment/jennifer-blood/t1-une-femme-ne-sarrete-jamais


Cosmic Odyssey

Pas mal le casting pour classique d'épopée galaxique chez DC : Jim Starlin et Mike Mignola. Et même si Mignola n'a pas encore affiné son style comme il va commencer à le faire sur Hellboy, c'est déjà un régal pour les yeux, autant pour le storytelling, les personnages, et surtout les décors et l'ambiance qu'il arrive à instaurer. Starlin par contre joue un peu le fainéant puisque la menace (un truc d'anti-vie) va faire se réunir Darkseid, les New Gods et pas mal de héros DC mais qui vont se séparer sur 4 planètes pour rechercher 4 avatars de l'anti-vie... Donc on dilue le récit, c'est assez facile comme traitement, surtout pour finir par le combat contre le gros boss à la fin et par une résolution trop deux ex machina qui finit en pétard mouillé. Bon par contre Starlin est toujours aussi doué pour caractériser les personnages et du coup les interactions entre eux sont excellentes. Dans l'ensemble, c'est quand même une excellente saga galactique. Ca m'a donné envie de rechercher les autres travaux réputés de Jim Starlin que je n'ai pas encore lu (la mort de Captain Marvel, la mort du second Robin... il met en scène que des morts ou quoi ?).

Bon a part ça j'ai commencé à lire One Piece... Et j'aime bien ^^ J'en parlerai quand j'aurai fini les 6 tomes que j'ai acheté.

[Gizmo]

les grand esprit se rencontre moi aussi ont me bassiné tellement avec que du coup je me suis procuré plusieurs tome pour testé.
je vient de finir le tome 2 la

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Je viens de finir le 3 ^^

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Nausea

http://www.comicszone.fr/fantagraphics/robert-crumb/nausea


La Ruche

http://www.comicszone.fr/divers/pantheon-books/la-ruche


Courtney Crumrin t.6 (dernier tome !)

http://www.comicszone.fr/oni-press/courtney-crumrin/t6-courtney-crumrin-et-le-dernier-sortilege


One Piece t.1 à 6

Un des mangas les plus connus, qui raconte l’odyssée d’un apprenti pirate voulant devenir roi pirate dans un monde fictif dominé par les océans. Forcément on suit la recette shonen donc le personnage principal va évoluer au gré des bastons contre des ennemis de plus en plus féroces. Mais ce justement ça qui vaut le coup d’œil, cette galerie de personnages improbables et tous très intéressants, en premier lieu ce Monkey D. Luffy, naïf, sûr de lui, bête et intelligent à la froid. L’action est menée tambour battant, l’ensemble est souvent très drôle mais sait aussi être émouvant, il y a des rebondissements à la pelle, le dessin est dynamique, les récits bien pensés et frais... Bref rien à redire, vraiment un excellent shonen et il me tarde de lire les – déjà ! – 71 tomes. (et puis après, partir sur Monster, Gunnm, 20th Century Boy, GTO, Akira, etc etc... autant en profiter, ça se lit vite ! ^^)


Ikigami t.9 et 10

Suite et fin d’Ikigami, une suite logique et inattendue à la fois… Logique puisque encore une fois on suit le livreur de l’ikigami, avec ses doutes et jusqu’au fait qu’il soit surveillé par les hautes autorités... et inattendue parce qu’une guerre éclate, et c’est celle-ci qui va être le déclencheur aux dernières révélations sur l’ikigami. Comme l’ensemble tournait un peu en rond (même si à chaque décès il est souvent abordé une autre facette du rapport à la mort prochaine : le déni, la colère, l’accomplissement de soi...), et surtout comme on sentait quand même un manque d’imagination sur la fin (tout était lourd, chaque sentiment beaucoup trop appuyé), c’était une bonne idée de conclure la série, en plus tout s’agence comme il faut sans qu’on ait l’impression que ça aille trop vite... Je regrette juste le happy end final, mais en gros ça reste une conclusion plutôt bien gérée.


X-Men Classic 6 : Excalibur t.2

C’est sympa ces magazines “Classic”, ça permet de découvrir des vieilles sagas à un prix très raisonnable. Et ici on continue sur la fameuse équipe d’Excalibur créée par Chris Claremont et Alan Davis. Si Claremont est plutôt bon même si parfois assez lourd et démonstratif, la gestion des personnages est bien fichue avec des caractères tous très différents et des interactions bien gérées (et puis juste ce qu’il faut de personnages : Captain Britain, Meggan, Kitty Pride, Diablo et Rachel Summers). Et en prime des histoires bien loufoques et décalées, dont dans l’univers d’Arcade ou encore pendant l’event Inferno. Et là forcément Alan Davis se fait plaisir pendant peut-être ce qui a été sa meilleure période. C’est beau, limpide, parfaitement raconté, bref un régal pour les yeux.


The Unwritten t.2

Dernier album de la série publié en vf (et ils en sont déjà bientôt au 9ème en vo ><), je me suis relu le 1er avant d’entamer celui-ci et on tient franchement une des meilleures séries du moment. On suit encore Tommy Taylor qui commence à sérieusement douter de sa réalité, dans un thriller fantastique plein de poésie et aux multiples niveaux de lecture. En plus de ça, le dessin sobre mais franchement très efficace (notamment lors de la rencontre avec la fameuse aberration littéraire « Jud Süss ») de Peter Gross (Chosen avec Mark Millar) s’améliore à chaque fois. Prenant, glaçant, barré, plein de concept, très intelligent, pas prise de tête, bourré de rebondissements, une série franchement excellente.


Facteur-X n°20 (#70) à 36 (#99)

Trouvé les numéros à 1€ pièce, du coup hop. Bon je regrette juste de pas avoir la conclusion du dernier arc, le fameux épisode #100 (mais bon Semic avait bien calculé le coup en intercalant la mini-série anecdotique Spider-Man/X-Factor (Kurt Busiek pourtant...) dedans pour étirer ce #100 jusqu’au n°...39 !) Et puis on se plaint des publications kiosques aujourd’hui, mais quand on regarde sur comicsvf le nombre d’épisodes de la série non publiées... Bon l’essentiel est qu’il y a toute la période Peter David sauf un numéro, même si elle ne comporte que 21 épisode et 3 annuals (je pensais beaucoup plus). Le contexte est intéressant et assez novateur dans l’univers mutant de l’époque : une équipe à la solde du gouvernement. Et le casting aussi est intéressant : Havok en chef d’équipe, Polaris, Guido, Madrox, Vif-Argent et Félina en membres, et Val Cooper pour chapoter le tout (qui va passer le relai à Forge dans le n°34). Et même si les intrigues ne sont pas des plus intéressantes (même un peu chiantes, malgré un contexte social franchement bien rendu), c’est surtout le développement des personnages et l’humour qui vont faire toute la richesse de l’œuvre de Peter David. Malheureusement, il est très mal servi sur les dessins par un Larry Stroman qui rend tout d’une lourdeur et d’une complexité incroyable. Heureusement qu’arriveront Jae Lee (pour les deux épisodes de l’excellent crossover X-Tinction Agenda) et Joe Quesada sur la fin. Ensuite, le scénario passe à Scott Lobdell et surtout J.M. DeMatteis, et ces deux-là arrivent à prendre la suite plus qu’honorablement, malgré un Jan Duursema un peu statique mais largement meilleur que Larry Stroman. Une équipe du tonnerre pour une série vraiment très intéressante, maintenant ça me donne envie de compléter mes manques sur le récent deuxième run de Peter David sur la série.

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J'ai oublié :



http://www.comicszone.fr/idw/locke-a-key/t4-les-cles-du-royaume

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Space : Punisher

Une variation sur le Punisher, où on le retrouve non pas cantonné uniquement à la Terre mais à l’espace… Et forcément sa vengeance personnelle va se decliner à l’échelle galactique, tout comme chaque personage Marvel qui se retrouve “cosmiquisé” (oui j’invente). C’est du Frank Tieiri au scénario, et autant ça n’a jamais été un grand scénariste autant il a toujours été très lisible, efficace (Wolverine), avec un petit côté fanboy sympathique (Weapon X) et puis faisant preuve d’un bon sens de l’humour (Deadpool). Et là c’est encore le cas, parce que même si on n’est pas dans du grand comic book, ça reste du bon gros délire qui tâche et qui ne se prend pas au sérieux comme il est plaisant de lire parfois. Et puis Mark Texeira sur les dessins fait vraiment évoluer son style : loin des dessins sombres et nerveux qu’il a pu réaliser auparavant (Sabretooth, Ghost Rider – bon ok tout ça date des débuts 90s), il propose au contraire un style assez réaliste (voir photoréaliste pour les dessins), et en plus peints à la main ! C’est franchement beau, et niveau storytelling ça reste très efficace. Bon ok ça ne va pas nous grandir, mais franchement quel pied !


Monsieur Personne

Bon mon premier contact avec Jeff Lemire ne s’est pas fait auprès de son fameux Essex County mais au travers de son premier passage chez Vertigo avec Mr Nobody, variation sur l’homme invisible qui va fuir dans un petit village pour essayer de trouver un remède à son invisibilité. Il va vite être considéré comme un fou du village, et se lier d’amitié à une jeune adolescente. L’histoire se décline en trois parties, toutes différentes au niveau du ton (parfois intimiste, des fois un peu thriller horrifique, quelques fois de l’humour...) mais à chaque fois d’une justesse et d’une beauté à couper le souffle, et puis en plus Lemire prend le temps de raconter son histoire et malgré la vitesse à laquelle le bouquin se lit (30 min) le temps est vraiment bien géré. En plus, chaque personnage n’est pas blanc ou noir, malgré l’affection qu’on se prend à avoir avec Griffin, ce fameux Homme invisible. Le dessin n’est pas en reste, typiquement indé, en noir et blanc et avec des aplats de couleur bleue pastel pour mettre un peu de relief. C’est magnifique, et il émane de certaines cases (en partie grâce au magnifique design du personnage principal) une puissance iconique assez impressionnante.


Transformers : Generation One t.1

http://www.comicszone.fr/divers/dreamwave/transformers-generation-one/t1-prime-directive


Daredevil & Captain America : Deuxième mort

Deux auteurs italiens qui vont œuvrer sur un one-shot Marvel, idée sympathique... Forcément, le scénario est on ne peut plus classique (la fameuse « menace commune ») mais le début est bien géré, faisant intervenir Daredevil et Captain America chacun de leur côté, avec leurs caractères respectifs, et faisant revenir un super-vilain (que je ne connaissais pas, me souviens même plus de son nom) avec un background assez intéressant. En prime, le dessinateur XX, très classique (on pense à Gene Colan, à John Buscema), rend vraiment de très belles planches, en particulier un Daredevil iconique au possible. Bon dommage que tout cela se finisse en baston un peu naze et trop rapide, ça s’annonçait plutôt pas mal. Mais c’est la règle du format 46 pages...


Quarante-six

Un album assez surprenant, où Milo Manara va concocter un petit thriller érotique, fantastique et psychédélique mettant en scène le pilote Valentino Rossi... Le scénario sent l’improvisation mais est suffisamment barré pour être lisible (un poulet fantôme représente la mauvaise conscience de Rossi...), et puis le dessin photo-réaliste rend vraiment bien, en particulier quand Manara dessine des icônes de la culture populaire (Steve McQueen, Jim Morrison ou encore Enzo Ferrari), des splendides motos et puis forcément ses pin-ups toujours aussi canons. Bref, un délire bizarre, et le trait de Manara renforce encore plus l’impression d’être dans une BD « autre ». A consommer avec modération.


Walking Dead 18

http://www.comicszone.fr/image/walking-dead/t18-lucille


Bubblegum Crisis

http://www.comicszone.fr/dark-horse/bubblegum-crisis


Quartier Lointain

Un père de famille quarantenaire et auto-entrepreneur va retourner pour une affaire dans le village de son enfance. Il va y vivre une expérience et se réveiller à l’époque de ses 14 ans, mais avec son esprit d’adulte ! Il va alors essayer d’y changer le cours de son existence, en particulier la disparition très prochaine de son père. Près de 400 pages pour un récit très beau, très juste et pudique sur le temps qui passe et qu’on ne rattrape pas, sur l’enfance, sur les souvenirs, sur la famille. Une bande-dessinée qui fait beaucoup penser, autant dans le ton employé que dans les thèmes abordés, aux films de Yasujiro Ozu. Et pour les dessins, c’est du même acabit : pas de sophistication inutile, c’est sobre mais d’un dosage sans précédent. Très bon.


Sam & Twitch

Bilan mitigé pour ces Sam & Twitch que je me faisais un plaisir de lire puisqu’ils ont été écrits par Brian M. Bendis dans sa meilleure période (Torso, Jinx, Daredevil, Alias). Au total 26 épisodes, dont 4 arcs : Udaku (#1-, Witchcraft (#10-13), Bounty Hunter Wars (#15-19) et John Doe Affaire (#20-26). Et le moins que l’on puisse dire c’est que si Bendis propose globalement des intrigues intéressantes et prenantes, chaque conclusion est un coup d’épée dans l’eau. D’une part parce que ça se finit vite alors que le déroulement est long (mais on a l’habitude de la décompression avec Bendis), mais surtout parce qu’à chaque fois toutes les réponses ne sont pas données aux différentes zones d’ombres qui parsèment le récit (motivation des personnages, phénomènes surnaturels ou autres). Donc c’est vraiment frustrant puisqu’on a l’impression que Bendis, ne sachant pas comment expliquer telle ou telle chose, à tout simplement décidé de faire l’impasse dessus.

Après, plus globalement sur les arcs : le pitch d’Udaku est intéressant, l’ambiance est bien rendue et quasi-palpable, mais le récit est massacré par une conclusion calamiteuse et surtout par le trait de Greg Cappulo qui ne correspond pas du tout au récit (il semble penser que multiplier les angles de vue tarabiscotés et les zooms douteux rajoute en intensité et en immersion). Ensuite, Witchcraft est franchement anecdotique : le scénario est d’une simplicité et d’une bêtise extrême (en gros, Bendis a pondu un scénario paresseux et s’est amusé à le distiller en sens inverse et à l’étirer sur 4 épisodes), heureusement qu’il y a Ponticelli (Soldat Inconnu) qui parfois sauve un peu l’ensemble. Les 5 épisodes de Bounty Hunter Wars ne sont pas non plus très intéressant, quelques scènes sont sympathiques mais Bendis use et abuse des dialogues anodins qui ont fait son style. Parfois il le fait avec réussite, ici non. Bof, heureusement qu’il y a Maleev. J'ai quand même entrecoupé la lecture de cet arc avec d'autres lectures pour arriver à en venir à bout Après pour ce qui est du dernier arc, c’est celui que j’ai préféré et que je conseillerai à la rigueur s’il n’y en avait qu’un à lire. Un thriller bien glauque, où l’atmosphère est franchement bien rendue et où certaines scènes sont très intenses, un peu à la Seven (d’où le titre ?), et puis il faut dire que Maleev aide bien à cela. Dommage juste que la fin soit loupée. Voila pour la série, auquel il faut rajouter les #9 et #14, respectivement dessinés par Jamie Tolagson et Clayon Crain (qui n’était pas le Crain que l’on connaît maintenant !), deux épisodes plutôt sympathiques.

Bon ensuite pour les trouver, les 6 Semic Books sont encore facilement trouvables d’occasion et très peu chers, sauf le 3. Pour combler ce manque on peut se procurer le tome 2 de l’édition Delcourt, qui propose en plus la mini-série Sam & Twitch : The Writer par deux artistes italiens Luca Blengino et Luca Erbetta.



Là encore la conclusion est un peu décevante, mais globalement il s’agit d’un thriller plutôt bien fichu, un peu trop bavard mais avec une atmosphère intéressante (le fait que la ville soit bloquée pendant une tempête de neige apporte un côté « Whiteout » assez sympathique). Et puis les dessins, ils sont réalistes, un peu rigides par moment mais globalement c’est du bon boulot. Rien d’exceptionnel mais une lecture pas désagréable.

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Wolverine

Voila, dernier mensuel que j’arrête d’acheter... Bon la série Wolverine and the X-Men est vraiment excellente, entre des dessinateurs de qualité (Chris Bachalo, Nick Bradshaw, Ramon Perez) et un scénario de Jason Aaron qui lorgne du côté de l’héritage de Morrison et de ses New X-Men : histoires ambitieuses, personnages fouillés, concepts délirants, et du fun tout du long. Mais par contre pour la série Wolverine vol.4, c’est autre chose : autant le run d’Aaron était plutôt sympathique (hormis le final fait à la va-vite), autant la reprise avec Cullen Bunn au scénario et le plutôt bon Paul Pelletier aux dessins est franchement navrante. C’est archi-convenu et le scénariste se contente de nous offrir du glauque et plein de sangs pour nous contenter. Navrant... Bon j’arrête surtout le magazine parce que je pense que Wolverine and the X-Men sera réédité en édition Deluxe, donc autant attendre si seulement une série sur les deux que contient le magazine me satisfait...


Happy Rock / Happy Girls

Trouvé les deux à 3€, alors bon... Edités originellement avec les titres « L’Enfer des concerts » et « Les filles électriques », l’édition a bien changé depuis la parution du « Happy Sex » de Zep. Happy Girls sent fortement le Titeuf, la seule différence étant qu’il s’agit d’un ado et non pas d’un gamin qui est le protagoniste principal. Bon c’était la période faste de Zep, alors c’est franchement savoureux, autant pour les gags que pour son dessin très expressif. Mais le meilleur est largement Happy Rock, avec toutes ces anecdotes et digressions franchement hilarantes, parfois vécues, sur le monde des concerts.


Venom

J’arrête également la série Venom, qui paraissait épisodiquement dans des hors-séries... Rick Remender a vraiment fourni un excellent boulot au départ (avec en plus d’excellents dessinateurs comme Tony Moore), construisant un univers très intéressant auprès du nouveau Venom Flash Thompson, et creusant des thématiques intelligemment comme la famille, les responsabilités... Et puis sur la fin on sent que les contraintes éditoriales l’ont poussé à finir à la va-vite, et le remplacement par Cullen Bunn est franchement mauvais. Bon l’auteur semble se réclamer des 90s, et ça se voit. Comme la reprise de Wolverine après Aaron, ça se la joue surenchère de personnages/d’action/de sang mais sans rien derrière. A jeter.


Grant Morrison présente Batman t.4

http://www.comicszone.fr/dc/922-t4-le-dossier-noir


The Boys t.19

Après les énormes révélations et le massacre du t.18, on croyait en avoir fini avec les menaces super-héroïques... mais Billy Butcher n’a pas dit son dernier mot ! Une fin parfaite pour la série : pleine de rebondissements, attendue mais quand même surprenante et osée, et qui boucle la boucle comme il se doit. Ennis trouve le parfait équilibre entre intrigue dense et délire gores, et la série dans son ensemble vaut vraiment le coup de s’y investir et de gratter ce vernis potache pour accéder à toute sa profondeur et les nombreuses thématiques qu’elle renferme (sur le genre super-héroïque, les responsabilités, les regrets, la notion d’amitié, le temps qui passe, la politique, etc.). L’univers proposé est dense, cohérent, complexe, les personnages nombreux, variés et fouillés, et je pense que l’histoire doit encore plus s’apprécier en relisant les 72 épisodes d’une traite. Et puis pour les dessins, même si Darick Robertson n’aura malheureusement pas assuré le dessin sur la totalité des épisodes et qu’on le sent un peu fatigué sur la fin, il aura été l’illustrateur idéal pour le scénario à la fois sombre et barré d’Ennis. So long, Boys !


Locke & Key t.5

http://www.comicszone.fr/idw/locke-a-key/t5-rouages


Codeflesh

Un agent de probation spécialisé dans les criminels aux superpouvoirs joue le justicier la nuit pour retrouver ces criminels qui ne veulent pas se rendre au tribunal. Bon pour la petite histoire les premiers épisodes de cette mini-série ont débutés en 2003, et à l’époque les polars urbains couplés avec les super-pouvoirs étaient encore originaux. Mais depuis revient très (trop ?) souvent (puis rien que Powers, Gotham Central et Sleeper ont peut-être tout dit sur le genre), alors forcément l’ensemble se lit sans réelle conviction. C’est plutôt bien fait, le personnage – âme à la dérive encore une fois – est intéressant, surtout sa version masquée iconique au possible, mais globalement le scénario est juste très correct. Par contre sur les dessins Charlie Adlard est très intéressant, et utilise encore un autre style que sur Walking Dead ou sur Corps de Pierre, un style plus nerveux, plus gras, plus comic-book, plus électrique aussi, qui m’a parfait fait penser à du Paul Pope. Vraiment très intéressant, même si ce Codeflesh reste une petite déception.


Victor Walou t.1

1er œuvre d’un auteur qu’on a accueilli lors de notre festival « BD dans l’Ain », où il décrit de façon humoristique le quotidien d’un auteur de BD sale, fainéant et caractériel. C’est franchement assez drôle, il y a des situations bien décrites et de l’imagination, un univers qui se développe, un côté « geek » assez sympa, et puis le dessin, entièrement réalisé par ordinateur, vaut vraiment le coup d’œil. Un premier album plutôt prometteur.


Pervers Pépère

Du très bon Gotlib, où un papy vicelard passe son temps à jouer des tours aux gens… où les conclusions ne sont jamais ce que l’on pourrait croire (genre il met une petite fille sur les genoux, lui donne des bonbons, et va lui faire mettre sa main entre ses jambes... où il y aura une tapette à souris !). C’est plutôt sympa, même si le côté comique de répétition lasse un peu, alors que c’est vraiment quand Gotlib va s’affranchir de ce côté codifié qu’il va être le meilleur, comme dans ce sketch à la Alien hilarant Puis je ne vais pas revenir sur les dessins, parfaits comme d’habitude.

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Rhâ-Gnagna t.2

Deuxième et dernier tome de Rhâ-Gnagna, où Gotlib se permet un peu toutes les libertés. Des fois c’est vraiment excellent  et franchement fouillé (quand le héros parle avec le lecteur), d’autre fois ça n’est qu’un bon gros délire (l’affrontement de Bruce Lee et de Super Dupont), mais en tout cas ça reste toujours de très bonne facture, le style de Gotlib est vraiment unique et son dessin, notamment ses personnages, en fait un grand maître du comique.


Best of Fantastic Four

Best Of de Panini qui comprends les premières aventures des FF avec John Byrne au scenario et au dessin, c’est-à-dire les épisodes #232-240 de 1981-1982. Et dire qu’il est resté jusqu’au #294, dommage qu’on n’ait pas pu avoir la suite sauf si on collectionne les vieux Nova. Et c’est vraiment très bon, seuls les dialogues et cette manie de paraphraser ont un peu vieilli, mais à part ça le côté old school rend bien et puis John Byrne s’intéresse à chaque personnage, propose des intrigues intéressantes et nombreuses, et puis son dessin est toujours aussi maîtrisé. Vraiment de l’excellent super-héros classique.


Planète Comics n°9

Ce magazine compile les trois premiers numéros de la série Mr Majestic (qui n’en a comporté que 9), célèbre personnage des WildCATS, sorte d’équivalent de Superman à l’époque des débuts de la maison d’édition Image. Joe Casey pousse le concept de super-héros aux pouvoirs infinis à fond dès les deux premiers épisodes, avec des concepts scénaristiques plutôt intéressants, même si on n’atteint pas le niveau d’un Alan Moore sur Supreme ou d’un Kurt Busiek sur Astro City. Le troisième niveau est plutôt humoristique et nous raconte une journée banale entre Mr Majestic et la cyborg Ladytron. Plutôt sympathique. Mais bon ce qui ressort de ces trois épisodes c’est plutôt Ed McGuiness, avec son trait pur, très cartoon et manga, stylisé à l’extrême et d’une grande puissance. Un régal.


Star Trek – Compte à rebours

4 épisodes faisant le lien entre la saga originelle de Star Trek (comprenant la première équipe vieillissante, et l’équipe de la Nouvelle Génération quasiment à la retraite) et la nouvelle voie temporelle ouverte avec le premier film Star Trek de J.J. Abrams. C’est plutôt bien fichu, très trekkien dans l’esprit (avec ces différentes races, la diplomatie, les combats galactiques, les personnages), qui brosse le fan dans le sens du poil (on savait que le Spock originel avait aussi bifurqué dans le nouvel univers mais pas forcément que Picard, Data ou encore Worf avaient fait partie de l’aventure qui a conduit le romulien Nero a vouloir se venger contre la galaxie entière) et puis surtout qui creuse justement le personnage de Nero, un méchant qui même s’il ne vaut pas Khan reste quand même très charismatique. Et puis les dessins de David Messina sont pas mal du tout : sobres mais profonds, avec en plus un très bon rendu des personnages existants qui sont ressemblants sans toucher à la caricature. Bref un très bon album pour entamer les deux films Star Trek d’Abrams.


Le Combat Ordinaire

L’histoire d’un jeune photographe solitaire et ayant du mal avec les relations sociales, entre sa relation avec son psychiatre, la vétérinaire qu’il tente de draguer et les rapports avec ses parents, dont son père rescapé d’un AVC. Un portrait très juste et touchant d’un individu finalement on ne peut plus banal, et confronté à des situations auquel chacun doit faire face dans sa vie. C’est pudique, très bien fait (les moments d’émotion forts sont toujours contrebalancés par de fréquentes notes d’humour), les personnages sont profonds et réalistes et puis le trait de Larcenet est juste parfait, entre la caricature et un trait un peu « indé » et surtout des paysages à la Van Gogh franchement magnifiques. Je regrette juste le côté trop « ancré dans son époque » (avec l’élection de Sarkozy, par exemple), qui fait perdre le côté intemporel à l’œuvre. Mais un beau petit bijou en tout les cas. Bon, va falloir lire Blast maintenant...


Happy Sex

Troisième et dernier tome de la « trilogie » « Happy », un tome loin d’être tout public cette fois, mais toujours aussi drôle. Des gags de situations très justes, un peu de tous les styles (enfin plutôt « de toutes les positions »), et avec le style de dessin toujours aussi plaisant de Zep. Très bon.


Hamster Jovial et ses Louveteaux

Des gags d’une page sur un chef scout et ses trois jeunes recrues qu’il initie à différentes choses. Des gags publiés à l’époque dans le magazine Rock & Folk. Là encore du Gotlib sans censure, et quelques gags sont vraiment très bons mais si on sent l’artiste moins inspiré que quand il a une totale liberté. Correct, sans plus...


La Ligue des Gentlemen Extraordinaires : Le Dossier Noir

http://www.comicszone.fr/dc/925-le-dossier-noir


Daredevil : Guerre et Amour

Il y avait un seul récit de Daredevil de Miller que je n’avais pas lu, c’est chose faite avec ce récit où le Caïd fait intervenir de force un psychologue réputé afin qu’il sauve sa femme Vanessa, plongée dans un mutisme total. Pour se faire, il va faire kidnapper la femme du psychologue par un vilain (j’ai l’impression qu’il s’agissait du Mandrill dont le profil est magnifiquement revisité pour l’occasion). Un récit sombre, prenant et assez désespéré. Miller arrive à bien caractériser les personnages, et on arrive finalement à avoir plus de compassion pour les vilains que pour les autres personnages, finalement plus acteurs qu’autre chose, notamment Daredevil qui remplit bien son rôle de héros inébranlable mais qui ne fait que passer. Les dessins sont assurés par l’excellent Sienkiewicz, et ses peintures sont vraiment magnifiques, en particulier ce Caïd qu’il rend vraiment très impressionnant. Bon il n’y a pas à dire, Miller aura vraiment marqué le personnage de Daredevil et son univers de son empreinte, autant pour son run légendaire des #158-191 que pour ses autres runs et mini-séries (DD Born again, DD The Man without Fear, Elektra : Assassin et Elektra Lives again).


Hard Boiled

L’histoire d’un robot tueur auquel on fait croire qu’il n’est qu’un simple courtier en assurance, dans un monde futuriste steampunk (qui pourrait bien être le monde de Martha Washington d’ailleurs, puisqu’il y est fait référence à la PAX). Bon même si le côté androïde perdu peut être assez poignant et l’univers bien loufoque et fouillé, il faut bien avouer que le scénario déjanté n’est pas le principal attrait de l’album. C’est plutôt Geoff Darrow (Big Guy ou encore Shaolin Cowboy) qui va nous épater ici, de son dessin archi-détaillé limite pathologique. Et il a de quoi se faire plaisir avec ce monde futuriste, ces robots, toutes ces explosions et ce sang (c’est franchement gore). Un artiste vraiment à part. Anecdotique mais finalement suffisamment prenant pour être sympathique. Eisner Award 1996 de la meilleure équipe artistique, d’ailleurs.


Quai d’Orsay

Quelques sketchs mi-réalistes mi-comiques sur un conseiller ministériel venant d’arriver au ministère des affaires étrangères. C’est franchement bien fichu, autant pour les dialogues, les situations, l’humour que pour ce personnage du ministre, grandiloquent et complètement dans son monde, personnage qui est également très bien rendu par ce dessin typé indé qui lui confère une aura impressionnantes. Une succession de sketchs d’une dizaine de pages, certains manquent un peu de consistance mais d’autres sont vraiment excellents. C’est intelligent, fin, juste et drôle. Je n’ai pas vu l’adaptation cinématographique de 2013 mais j’ai l’impression que tout a été repris tel quel puisque les dialogues dans la bande-annonce sont exactement les mêmes que dans la BD.


Durant les travaux, l’exposition continue t.1 à 3

Des gags d’une page très absurdes et cyniques, ayant pour thématiques le monde du travail dans les tomes 1 et 2 (avec des univers récurrents comme les chirurgiens, les scientifiques, la particularité étant que tous les personnages ont des lunettes), et le paranormal dans le tome 3 (sciences occultes, OVNIs...). Les gags sont inégaux mais dans l’ensemble l’humour à froid et sophistiqué est vraiment bien fichu. Il faut dire que c’était la période où Midam (Kid Paddle) et Clarke (Mélusine) étaient inspirés. Et le trait sérieux du second correspond totalement aux sketchs glacés du premier. Très bon.

Voila, bon à part ça la grosse nouveauté du moment en ce qui concerne des lectures c’est que je me suis à la BD numérique, grâce à une tablette et à T411. Et les perspectives en termes de découverte sont absolument jouissives ! J’essaye de ne pas trop me disperser donc en ce moment je ne me lis que l’intégralité de 5 séries : en franco-belge tout ce qu’a écrit Arleston sur le monde de Troy (Trolls de Troy, Lanfeust de Troy, Lanfeust des Etoiles, Cixi de Troy...), les cycles de l’Incal de Jodorowsky (L’Incal, Les Méta-barons), Astérix, en manga One Piece et Fairy Tail, et en comics les Teen Titans de Wolfman et Perez (qui en qualité valaient largement les Uncanny X-Men de Claremont à l’époque). Ce qui est déjà pas mal. Mais loin d’être fini, vu tout le matos à disposition. \o/

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Je pensais déjà les avoir posté :


Arzach

Succession de courts récits, sans parole, sur une sorte de voyageur monté sur un ptérodactyle, dans un monde inconnu. Des fois drôles, des fois non. On est vraiment en plein dans la bd introspective, sensitive, où on embarque pleinement dans ce monde vaste et hostile (et franchement, on aimerait vraiment en avoir plus à se mettre sous la dent sur cet univers, mais Moebius/Jean Giraud limite les informations). Puis sinon, forcément c’est le dessin qu’on va retenir dans cet album. Des planches magnifiques, grandioses, des étendues superbes, un character design novateur, l’auteur a vraiment dû passer un temps fou sur son pinceau. Mine de rien, Moebius a quand même changé à lui tout seul la bande-dessinée, qu’elle soit francophone, américaine ou asiatique (cf. Akira), et également le cinéma de science-fiction...


Orion – Le laveur de planètes

Bon je l’avais trouvé à 1€, et comme je connaissais Moliterni (surtout en tant que co-auteur du dictionnaire de la BD de Larousse qui a été ma bible pendant un bon moment) et Gigi (pour les illustrations du dyptique Le Dossier des Soucoupes Volantes / Ceux venus d’ailleurs) et que l’ensemble venait de la collection Histoires Fantastiques de Dargaud, très proche à l’époque de l’esprit Métal Hurlant, je n’ai pas trop hésité. Et effectivement on est en plein dans la période de science-fiction adulte de la BD, et en plein dans les 70s, avec ce  que ça suppose de psychédélisme et d’onorisme. La BD brasse un peu de tout ça en nous proposant l’histoire d’un « nettoyeur » galactique qui va chercher à supprimer une race de perfides extra-terrestres avec une rescapée d’un de leurs méfaits. Ca n’est pas spécialement excellent, c’est assez répétitif mais ça se laisse lire, surtout qu’on finit progressivement à s’attacher aux personnages et à l’univers. Mais autant au niveau du scénario que du dessin (Gigi semble peu inspiré et bâcle certaines planches), il y avait largement mieux à l’époque.


Astonishing X-Men : Xenogenesis

Les Astonishing X-Men sont envoyés dans un pays pauvre d’Afrique où des bébés mutants naissent et prolifèrent... J’ai vraiment l’impression que Warren Ellis a complètement raté son passage sur les Astonishing X-Men. Même s’il continue avec ses thèmes fétiches (la manipulation génétique) toujours avec le même ton cynique/décalé (cf. les échanges entre les personnages, quelques fois bien sympas) et essaye en même temps de proposer un regard nouveau sur l’Afrique, il n’y a finalement pas grand-chose à se mettre sous la dent sur ces 5 épisodes. Le scénario est archi-convenu et sans surprise, c’est mou, ça ne suscite pas l’intérêt... Même Kaare Andrews est à qualité variable tout au long du récit (quelques planches sont magnifiques, d’autres piquent les yeux). Bof.


Cinémastock t.1 et 2

Ca n’est pas vraiment une analyse de l’envers du cinéma (comme a pu le faire Gotlib dans certains excellents sketchs de « Trucs-en-Vrac ») mais plutôt une reprise de grands classiques littéraires à la sauce cinéma, et puis surtout avec tout l’attrait pour l’absurde, la surenchère de gags, les différents degré d’humour etc. comme sait le faire Gotlib. Et les sketchs sont assez longs, chaque album couvrant environ 3-4  histoires seulement. C’est assez inégal après, quelques sketchs sont franchement excellents (La dame aux camélias ou Les malheurs de Sophie), d’autres très moyens (Notre-Dame de Paris). Quant à Alexis, ça fait un peu sous-Gotlib qu’il singe assez fréquemment (sur les visages, les expressions, la gestuelle), avec un côté réaliste en plus pas désagréable. Pas de l’excellent Gotlib mais en tout cas très recommandable.


Noé t.1 et 2

Les 2 premiers tomes (l’histoire est prevue en 4 parties) de l’histoire de Noé par Darren Aronofsky. Bon je ne sais pas si c’est l’histoire qui sera reprise telle quelle dans le film (mais il y a de fortes chances, c’était la même chose pour « The Fountain »), mais en tout cas il y a vraiment matière à réaliser quelques choses de grandiose avec tout ça : grands espaces, moments cultes, combats, séances oniriques, le tout superbement rendu par le dessin de Niko Henrichon (« Pride of Bagdad ») et la couleur sépia... En film, ça peut vraiment le faire. Par contre en BD, aucune émotion, tout va trop vite et les personnages ne sont pas creusés, bref à oublier.


Wonder Woman : Hiketeia

Une femme recherchée par la police (et donc par Batman) va chez Wonder Woman et réalise un serment d’Hiketeia, c’est-à-dire qu’elle va s’offrir à Wonder Woman et qu’en échange celle-ci devra la protéger. Le tout bien sûr sous le regard intéressé des Erinyes. Bon, mis à part le côté mythologique assez sympathique (et encore, je n’ai pas lu grand-chose de WW donc peut-être est-ce banal pour le perso...), il ne se passe pas grand-chose durant cette mini-série, et en plus Greg Rucka ne développe pas spécialement les personnages, alors qu’en général ça lui réussit. Reste quelques scènes sympathiques, dont les oppositions Batman / Wonder Woman, et surtout l’excellent dessin de J.G. Jones (« Wanted »), à la fois comic-book et réaliste, qui propose des belles compositions, sublimées par l’ambiance sombre du récit.

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